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Nice radio stations on the Web (updated August 2017)
vendredi 2 janvier 2009 / 15 août 2017, par
Si vous affichez cette page au moyen d’un navigateur capable de traiter (ou de déléguer via un pluguine) les données audio, vous pouvez exploiter les liens ci-dessous d’un simple clic. Vous pouvez aussi les transférer à votre récepteur “web radio” ou à votre logiciel de lecture audio (par exemple Winamp, Screamer Radio, Foobar), ou les ajouter à vos marque-pages (via le clic droit de votre souris).
If you are using an audio-capable web browser, you may enjoy these links through a simple mouse click. You may also pass them to your internet radio receiver or to your audio player software (like Winamp, Screamer Radio, Foobar), or add them to your bookmarks (use the right click of your mouse).
Voir en ligne : Tableau sélectif (mis à jour le 2 août 2017)
Remarque préliminaire : les radiodiffuseurs ont la détestable habitude de modifier sans cesse les accès à leurs programmes par le web. Si par exemple France Inter
est était diffusée en grandes ondes sur la même fréquence de 162 kHz depuis 1939 (plus de 70 ans), l’URL pour accéder à ce même programme sur le web a changé des dizaines de fois depuis les quelques années d’existence de ce mode de diffusion. L’inéluctable éviction progressive de la diffusion hertzienne au profit de l’internet n’est pas encore bien intégrée par les principaux acteurs concernés. Surtout en France, où une politique gouvernementale désastreuse empêche la radio numérique hertzienne de se développer et force les radios à privilégier l’internet, faute de mieux.
Il est donc très possible que les informations ci-après ne soient plus exactes.
Une autre pratique regrettable est la limitation du débit fourni par le site serveur à un niveau à peine supérieur à celui du canal diffusé, même et surtout lorsqu’il s’agit d’un canal à bas débit. Elle empêche la machine cliente de “buffériser” efficacement pour compenser les défauts d’une connexion intermittente ou à la bande passante très irrégulière, comme on en rencontre très souvent dans les lieux publics, les chambres d’hôtel ou les bureaux (oui, je sais, je ne suis pas censé écouter la radio au bureau).
On le verra en exploitant les informations ci-dessous, nombre de radiodiffuseurs font des efforts considérables pour compliquer l’accès à leurs programmes. L’incompétence n’est pas la seule explication du phénomène : il s’agit souvent de forcer l’auditeur à passer par une page web encombrée de publicité payante et de scripts sournois (on fait semblant d’oublier que la pollution publicitaire suscite de plus en plus de comportements défensifs : par exemple, les utilisateurs de Firefox et de ses indispensables extensions AdBlockPlus et NoScript sont efficacement protégés du décervelage et de l’espionnage commercial que pratiquent massivement les sites des organes de presse et des médias, chaînes de radio comprises).
However, this site will reveal them in most cases (European radios only).
You can also discover them indirectly, thanks to your internet radio receiver and its associated web service : add a radio station to your favourites, then open it in your browser ; the playlist URL will appear in the address bar (it looks like “http://www.your.preferred.radio.station.m3u” and it’s just a short text file). Then copy/paste this to Winamp, play it and display the stream properties (or just save it as a text file) : the direct URL will be shown in clear.
Dans la zone de couverture, écoutez Musiq3 en DAB 192 kbps sur 225,64 MHz canal 12B, sans compression dynamique [3]. Le signal est toutefois encodé avec une compression mpeg layer2 [4], donc amputé brutalement de toute les fréquences au-delà de 16 kHz (en léger progrès sur la FM de ce point de vue, mais en gros progrès pour le rapport signal/bruit, la diaphonie etc.) La couverture territoriale, très mauvaise en FM, est correcte en DAB (sauf dans le Brabant Wallon).
NB : Voir → ici une explication du format audio AAC, l’un des successeurs annoncés du mp3. Cette technique de compression est en net progrès par rapport à l’affreux mp3 (mais la RTBf a hélas fait le choix de privilégier les économies de bande passante au détriment de la qualité audio), sans atteindre les performances du format Ogg-Vorbis. Malgré ses qualités, ce dernier s’imposera difficilement hors de la sphère privée, en raison du refus délibéré d’y incorporer un quelconque mécanisme de limitation de la liberté d’utilisation des contenus. Les diffuseurs commerciaux et institutionnels n’aiment pas beaucoup la liberté.
Compte tenu du caractère misérablement désertique du paysage radionumérique français, des modifications fréquentes et inopinées des URL par Radio France, et de la décision d’euthanasier les diffusions hertziennes en modulation d’amplitude, ces liens sont d’une importance particulière. La qualité des flux diffusés par le nouveau prestataire low cost depuis octobre 2016 est sensiblement dégradée, en particulier pendant les heures de forte écoute (le 7/9 de France Inter notamment). Radio France se modernise à sa manière.
En mars 2017, nouveau changement inopiné (ayant donné lieu à une interruption de la diffusion pendant plus de quatre heures). Les liens publiés par Radio France [6] sont inchangés mais sont désormais redirigés vers de nouvelles adresses, vraisemblablement tout aussi provisoires que les précédentes. Je publie donc ci-dessous les adresses publiées (stables mais indirectes) accompagnées des adresses de redirection (directes mais instables).
Attention toutefois (je me suis désabonné pour cette raison) :
Un flux dégradé à 64k est disponible pour les mauvaises connexions (mystérieusement inutilisable avec Winamp et son décodeur audio-mpeg Nullsoft v4.98).
Voir aussi ici et là pour trouver d’autres radios. Et ici pour les amateurs de jazz. Et ici pour enregistrer la radio (c’est interdit mais pas immoral, et d’ailleurs toléré). Je fais partie des innombrables “consommateurs” de musique qui enrichissent les éditeurs en enregistrant d’abord et en achetant ensuite.
Astuce : si votre fournisseur d’accès vous impose un proxy transparent ayant pour effet de répéter sans cesse la même séquence audio incrustée dans le cache, il vous suffit de suffixer l’URL du flux par un point d’interrogation. Exemple : au lieu de "http://broadcast.infomaniak.net:80/radioclassique-high.mp3"
, orientez votre lecteur vers "http://broadcast.infomaniak.net:80/radioclassique-high.mp3?"
. [9]
[1] Il faut savoir que les radios belges francophones peuvent faire l’objet d’une censure par certaines institutions flamandes : le réseau wifi du Parlement flamand, par exemple, bien que situé hors de Flandre dans une ville bilingue, bloque l’accès à ces radios.
[2] Le débit moyen oscille entre 5 et 10 kilo-octets par seconde en Afrique, alors que les flux à 128 kbps en nécessitent le triple.
[3] À ne pas confondre avec la compression de données (avec pertes), hélas toujours présente.
[4] Mais bientôt avec une compression améliorée ’Advanced Audio Coding’ (AAC) lorsque le système DAB de première génération aura cédé la place au DAB+
[5] Le site propose un lecteur embarqué dans le navigateur ; il ne fonctionnera pas avec un navigateur moderne et sécurisé.
[6] Dans un document PDF, comme c’est pratique ! Au passage, Radio France stipule que “ces adresses sont fournies pour des usages privés uniquement. Pour tout autre usage, merci de contacter distribution radiofrance.com”. Cette mention sibylline pourrait signifier que les liens publiés ici devront peut-être prochainement disparaître. Elle semble indiquer en tout cas que Radio France ne les publie qu’avec réticence, préférant sans doute que l’auditeur passe par le site web ou par l’application mobile dédiée, qui sont à la fois des aspirateurs de données de profilage et des vecteurs de publicité.
[7] Inutile de souscrire si votre fournisseur d’accès ne vous garantit pas un minimum de 40 ko par seconde.
[8] Les podcasts sont hélas en mp3.
[9] Cette astuce ne marche pas à tous les coups, ne me demandez pas pourquoi.