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Dernier ajout : 12 octobre 2014.
Tip of the day
12 octobre 2014, parDo not buy
21 November 2012, byNe pas acheter
18 novembre 2011, parMy last gadget
17 mars 2010, parMicrosoft comprendra un jour
7 février 2007, parVoilà ce qui nous attend (démonstration par l’absurde)
25 novembre 2006, par« Vous avez été con d’acheter de la musique sur MSN. Vous seriez maso si vous en achetiez pour Zune » (Tristan Nitot)
25 novembre 2006, par0 | 10
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[1] Qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit : l’audio analogique n’est pas intrinsèquement supérieur à l’audionumérique (n’empêche : ce que savaient faire Rudy Van Gelder ou Fred Plaut semble un savoir oublié). Simplement, l’industrie opère des compromis techno-économiques (dont certains constituent des impasses durables, puisqu’une norme — il en faut — comme celle du compact disc ou celle du microsillon 33 tours peut figer pour plusieurs décennies certains paramètres qualitativement déterminants). De ce fait le niveau de qualité des enregistrements numériques est parfois encore loin d’égaler ce que l’on pouvait réaliser de mieux lorsque les technologies analogiques étaient à leur apogée et parfaitement maîtrisées. Voilà pourquoi, à la condition expresse de les écouter en édition CD pour en restituer toute la dynamique, certains enregistrements réalisés en 1959 avec les moyens analogiques du studio Columbia de la 30è rue sonnent mieux dans votre salon ou dans votre casque que d’autres, réalisés quarante ans plus tard en abusant ou en mésusant de multiples paramètres numériques mal domptés. Sans parler de l’affreux mp3 à 128 kbps dont la plupart des consommateurs se satisfont aujourd’hui alors qu’il ferait hurler un audiophile des années soixante. Celles du vingtième siècle, faut-il préciser.