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lundi 3 mai 2010
Le 13, le 20 ou le 27 juin, je ne voterai probablement pas pour le Mouvement Réformateur, parce que ses options en matières environnementale, économique et sociale ne sont pas les miennes.
Mais ce ne sera certainement pas à cause de sa composante FDF (Olivier Maingain), abusivement assimilée aux partis radicaux flamands et injustement accusée de jeter de l’huile sur le feu. Ce sera plutôt malgré Maingain, malgré le FDF.
Il faut tout de même beaucoup de mauvaise foi, côté flamand aussi bien que de la part du CDH, pour stigmatiser O. Maingain comme on le voit tous les jours.
Pour ne comparer qu’avec le moins radical des partis radicaux flamands, il y a trois différences majeures entre ce que dit Maingain et ce que dit Bart De Wever :
Madame “nee” devrait cesser de qualifier de provocations inutiles les propos d’Olivier Maingain qui ne font que reprendre ce qu’elle a elle-même dit quelques semaines plus tôt. Il tient un discours souvent plus modéré que le sien.
Je ne suis pas client du fonds de commerce de M. Maingain, mais si ça continue comme ça, non seulement je vais le trouver utile mais je pourrais bien aller un petit peu plus loin.
J’ajoute que le FDF serait un thérapeute bien utile à la Flandre, si la névrose collective dont elle souffre n’était, hélas, incurable.
La doctrine homogéniste qui caractérise la Flandre depuis quelques décennies est l’expression d’une névrose collective.
Elle est incurable.
Ça, moi je dis.
[1] Si manifester publiquement son soutien aux 3 bourgmestres francophones de la périphérie bruxelloise, élus mais non nommés par leur pouvoir de tutelle, est une provocation, alors elle est le fait du Conseil de l’Europe.